Le journal d'Inwind d'Ismaël - chapitre 7

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Dans la nuit, nous sommes attaqués par une meute de loups dont un était un loup-garou. Rolon a été mordu. Il sera sûrement loup le 18, jour de pleine lune.

Le lendemain matin, Noivellan me raconte encore ses rèves. Toujours le même. La silhouette a des yeux blancs et bleus. Le scène est accompagnée d’une musique entrainante. Au loin, elle semble apercevoir un feu.

Nous arrivons au bout d’une longue marche` la ville de Narwell. Il est 7h du soir quand nous dépassons les lourdes portes de bois.

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Les rèves de Noivellan deviennent de plus en plus précis. Elle me le décrit sur un parchemin que je placerais parmi les lettres que je garde en bonne place. Ses rèves me semblent inquiètants. Noivellan tombe de plus en plus bas. J’ai peur qu’elle sombre dans la folie.

Je profite de cette acalmie pour aller prier au temple. On m’apprend que mon destin est associé à Pelor et à la destruction (du Temple sûrement). J’ai de nouveau appris que Iuz et Lolth me cherchent, mais ce n’est pas une nouvelle…

Le soir, nous achètons des chevaux, je travaille, et je dors.

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Le matin, nous partons. Noivellan monte avec moi. Le soir, nous arrivons en bordure de forêt. Lormyr et Belgor sortent des chaînes afin d’entraver Rolon. Comme d’habitude, je prends le premier tour de garde afin de travailler ma magie. Noivellan gémit dans son sommeil. De rève-t-elle cette nuit ?

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Nous entrons dans la forêt. Nous avançons de plus en plus doucement, à un tel point que nous devons descendre de cheval.

La nuit tombe, nous montons le camp. Je garde mes bonnes habitudes et nous n’oublions pas d’attacher Rolon.

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Rolon a gémit cette nuit, bien plus fort. Sept personnes sont passées ici devant nous. Nous suivont les traces. Sur le chemin, nous trouvons un rouleau de soie. Calédor semble le reconnaitre. Nous avançons toujours aussi lentement dans l’épaisse forêt. Nous trouvons ainsi trois rouleaux de soie. Calédor nous dit que le temple lui avait demandé de les trouver et de les ramener. Encore quelque chose qu’il nous avait caché ! (Note du Master : Là, je le trouve un peu gonflé…). Cet Homme est un vrai Judas, même s’il semble important pour le groupe.

Dans l’après-midi, nous nous sommes fait « attaquer » par des sauvages qui, voyant l’épée de feu de Belgor, se sont mis à nous vénérer comme des dieux.

Ils nous amènent alors à leur village où ils nous présentent sept hommes (sûrement ceux que nous suivions). Nous leur proposons, en échange de leur liberté, de nous révéler leur quête et leurs employeurs. Mais devant leur refus, nous les laisserons aussi. Et même si je ne suis pas tout à fait d’accord sur ce dernier point avec les autres, je ne m’oppose pas à leur décision. Ils regretteront peut-être de ne pas avoir écouté mes conseils.

Finalement, et grâce à une ruse de Noivellan (je l’aime beaucoup), nous réussissons à repartir du village avec des vivres frais et un miroir en moins. Nous partirons demain.

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